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L'Initiative pour la restauration: revue annuelle 2019










UICN, FAO et PNUE 2020. L’Initiative pour la restauration: revue annuelle 2019. Rome.




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    Book (stand-alone)
    L'Initiative pour la restauration: revue annuelle 2020 2021
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    L’Initiative pour la restauration: Revue annuelle 2020 présente un aperçu des progrès accomplis et des histoires vécues au cours de la deuxième année de mise en œuvre du programme de l’Initiative pour la restauration (TRI). Avec le soutien du Fonds pour l'environnement mondial, ce programme novateur dirigé par l'UICN en partenariat avec la FAO et le PNUE aide dix pays d'Asie et d'Afrique à atteindre des objectifs de restauration communs. Bien que la pandémie de COVID-19 continue de présenter des défis inédits, les partenaires de l’Initiative ont pu progresser sur de nombreux fronts en 2020. Les travaux soutenus par le programme en 2020 comprennent un cours en ligne sur la restauration des forêts et des paysages (RFP) présenté dans le cadre d'un partenariat avec l'Université de Yale, la publication d'un nouvel outil d'évaluation des menaces pour la biodiversité afin de fournir de meilleures informations sur les mesures de restauration et de conservation, ainsi qu’un nouveau programme de mentorat soutenant le développement de propositions de projets et d'investissement basées sur la restauration. Ces réalisations, ainsi que des récits provenant des lignes de front de la restauration, sont décrites dans ce document.
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    Article
    Développement participatif de la Stratégie Provinciale pour la Restauration des paysages forestiersdans la Province du Sud-Kivu
    Le XVe Congrès forestier mondial, du 2 au 6 mai 2022
    2022
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    No results found.

    La restauration des paysages forestiers constitue une priorité en R.D. Congo. Celle-ci apparaît notamment dans les stratégies et plans nationaux sectoriels en rapport avec l’environnement et le développement. En 2014, la RDC s’est engagée à restaurer 8 millions d’hectares d’ici 2030 dans le cadre du défi de Bonn. Cependant, plusieurs obstacles empêchent la mise en œuvre de cet engagement. Parmi lesquels on cite le manque de coordination intersectorielle pour la promotion des initiatives de restauration des paysages sur le territoire national, y compris le Sud-Kivu. Concernant cette province, la situation est exacerbée par l’insuffisance des connaissances sur les zones actuelles d'utilisation des terres, limitant ainsi la possibilité d’une planification efficace des interventions de restauration. La FAO en collaboration avec WRI a réalisé une évaluation des opportunités de restauration des paysages forestiers au Sud-Kivu qui s'est basée sur le Guide de la Méthodologie d’Évaluation des Opportunités de Restauration (MEOR) (WRI et UICN, 2014). Le processus de revue de la littérature, l'analyse spatiale et les consultations locales des parties prenantes ont permis de valider les zones potentielles et les zones prioritaires pour la restauration des paysages forestiers, ainsi que les options de restauration appropriées. La Stratégie Provinciale repose sur les résultats de cette évaluation des opportunités de restauration au Sud-Kivu et plus de 26% de la superficie totale de la Province pourra être considéré comme zone prioritaire pour la restauration. Ainsi la Province de Sud-Kivu pourra contribuer de manière intégrée à 20% de l’engagement de la RDC au Défi de Bonn (AFR100). Mots clés : Stratégies, Partenariats, Aménagement des paysages, Gestion adaptative et intégrée ID: 3614020
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    Book (series)
    Afrique - Vue d’ensemble Régionale de la Sécurité alimentaire et la nutrition
    Lutter contre la menace de la variabilité du climat et des extrêmes climatiques pour la sécurité alimentaire et la nutrition
    2018
    Also available in:

    L’édition de cette année de la Vue d’ensemble régionale de la sécurité alimentaire et la nutrition indique que la situation de la sécurité alimentaire continue de se détériorer sur le continent. En Afrique, 20,4 pour cent de la population du continent (257 millions de personnes) sont aujourd’hui sous-alimentés contre 19,7 pour cent (241 millions de personnes) en 2016. En Afrique subsaharienne, 237 millions de personnes étaient sous-alimentées en 2017 contre 222 millions en 2016. L’aggravation de cette situation en Afrique s’explique par les conditions économiques mondiales difficiles et, dans de nombreux pays, les conflits et les mauvaises conditions climatiques, facteurs qui sont parfois combinés. L’insécurité alimentaire s’est aggravée dans les pays touchés par des conflits, souvent exacerbés par la sécheresse ou les inondations. En Afrique australe et de l’Est, de nombreux pays ont subi les effets de la sécheresse. Il faut noter que plusieurs pays ont enregistré des progrès soutenus en matière de réduction de l’insécurité alimentaire malgré des circonstances difficiles. La détérioration de la situation de sécurité alimentaire et les progrès insuffisants enregistrés par rapport aux cibles mondiales de l’OMS en matière de nutrition obligent les pays à intensifier leurs efforts pour parvenir à un monde libéré de la faim et de la malnutrition à l’horizon 2030. Les résultats de l’examen biennal inaugural sur les progrès accomplis en matière de la mise en oeuvre des objectifs de la Déclaration de Malabo montrent aussi clairement que des efforts supplémentaires devraient être fournis. En plus de passer en revue des politiques spécifiques sur la sécurité alimentaire et la nutrition, le présent rapport examine quatre thèmes transversaux importants, à savoir l’emploi des jeunes, les envois de fonds, le commerce intrarégional et le changement climatique. Il aborde leurs liens avec le système alimentaire et leur rôle dans la sécurité alimentaire et la nutrition. La partie thématique de ce rapport présente une évaluation fondée sur des preuves de la menace que constituent des extrêmes climatiques plus fréquents et d’une plus grande variabilité du climat à la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la région. Le changement climatique associé à une mauvaise planification du développement, la pauvreté et la dégradation de l’environnement augmentent le risque qu’un phénomène climatique devienne une catastrophe. Une approche collective qui associe l’adaptation au changement climatique à un renforcement de la résilience face aux catastrophes présente l’opportunité de gérer les risques climatiques et de catastrophe dans le cadre d’objectifs de développement plus larges.

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