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ProjectFactsheetAmélioration de l’accès, la mobilisation et l’utilisation efficiente de l’eau pour stimuler la productivité agro-sylvo-pastorale et augmenter la résilience des populations rurales en Afrique de l’Ouest - TCP/SFW/3804 2024
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No results found.L’Afrique de l’Ouest est confrontée à d’importantes variations climatiques et à des précipitations irrégulières, constituant ainsi un obstacle majeur à la sécurité alimentaire et à la réduction de la pauvreté dans la région. Au cours des deux dernières décennies, la disponibilité en eau dans la région du Sahel a diminué de plus de 40 pour cent. Or des millions de personnes dépendent de l’agriculture pluviale pour leur survie, les laissant dans un état de vulnérabilité et d’insécurité alimentaire constantes. Les sécheresses récurrentes des cinq dernières décennies ont conduit à des épisodes de famine, de malnutrition sévère, et de maladies hydriques en raison du manque d’eau potable. Dans cette région où 98 pour cent de l’eau utilisée en agriculture provient des précipitations, les chocs climatiques fréquents et les sécheresses persistantes exigent des mesures urgentes. Les eaux souterraines sont abondantes, mais leur utilisation est limitée par le manque d’infrastructures et de moyens techniques appropriés. De plus, leur utilisation n’est pas bien réglementée, ce qui peut entraîner une diminution de leur quantité et de leur qualité. Les eaux de surface sont également difficiles à exploiter: pendant la saison des pluies, une grande partie de l’eau est perdue par ruissellement, alors qu’il y a pénurie d’eau pendant la saison sèche. En outre, le manque de politiques cohérentes en matière de gestion rationnelle des ressources naturelles, ainsi que l’absence de priorités de développement éclairées par des programmes et des stratégies fiables, ont contribué à la dégradation continue des ressources en sol et en eau. Reconnaissant que l’accès à l’eau est essentiel pour le développement et la sécurité alimentaire, l’Organisation des nations Unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) promeut une meilleure mobilisation de l’eau et une gestion plus efficace, efficiente, durable et intégrée des ressources en eau en Afrique de l’Ouest. Ainsi, à travers le présent projet, la FAO a cherché à soutenir les pays dans l’utilisation efficace de l’eau pour l’agriculture, tout en encourageant le développement de l’irrigation à petite échelle et l’approvisionnement en eau du bétail. Cet appui a été sollicité par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). -
ProjectFactsheet
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ProjectProgramme / project reportAppui à la préparation de la candidature du Burkina Faso au Programme SIPAM : Systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial - TCP/BKF/3903 2025
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No results found.Depuis des siècles, agriculteurs, éleveurs, pêcheurs et sylviculteurs ont développé des systèmes agricoles adaptés à leur environnement, alliant gestion de la biodiversité, écosystèmes résilients et patrimoine culturel. Ces Systèmes ingénieux du patrimoine agricole mondial (SIPAM) fournissent durablement nourriture, biens et services contribuant à soutenir la sécurité alimentaire et les moyens de subsistance de nombreuses communautés à travers le monde.Résultats de l’interaction entre l’homme et la nature, ces systèmes, fondés sur des savoirs transmis de génération en génération, sont aujourd’hui menacés par le changement climatique, la pression sur les ressources, et la migration. Face à ces défis, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a lancé le Programme SIPAM en 2002, intégré officiellement à son mandat en 2015. Ce programme vise à reconnaître et soutenir ces systèmes via une approche de conservation dynamique, conciliant protection, adaptation et développement. Au niveau national, il soutient l’élaboration de politiques en faveur de l’agriculture patrimoniale, de l’utilisation durable de la biodiversité, et de la valorisation des savoirs traditionnels. Le SIPAM est désormais reconnu dans les forums internationaux comme un modèle en matière de sécurité alimentaire et de durabilité. À ce jour, 99 SIPAM ont été reconnus dans 29 pays, dont sept en Afrique (Algérie, Égypte, Kenya, Maroc, République Unie de Tanzanie, Sao Tomé-et-Principe et Tunisie).Dans le cadre de la promotion du Programme SIPAM, le bureau de liaison de la FAO au Japon, en collaboration avec le Ministère de l’agriculture, des forêts et des pêches du Japon, a organisé en novembre 2011 un voyage d’étude dans la préfecture d’Ishikawa, à l’intention des représentations diplomatiques du Burkina Faso et du Sénégal. Cette mission, centrée sur la visite de sites agricoles exemplaires, visait à encourager ces pays à soumettre leur candidature au programme SIPAM.À l’issue de cette visite, le gouvernement du Burkina Faso a exprimé son intérêt pour une éventuelle inscription au programme. C’est dans cette dynamique que la FAO a reçu une demande officielle d’appui, émise par le Ministère de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques (MARAH), en vue de la préparation du dossier de candidature du pays. Le présent rapport rend compte de cet appui.
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BookletHigh-profileInfraestructura rural mínima para prosperar.
Documento Nº 21, 2030 – Alimentación, agricultura y desarrollo rural en América Latina y el Caribe
2019Also available in:
No results found.El documento presenta una descripción de la estructura del ámbito rural, la demografía, la oferta de bienes y servicios, las principales desigualdades, niveles de pobreza, importancia y rol de la agricultura familiar y de otras actividades económicas (diversificación), principales características de la sociedad rural y la presencia del sector privado. Además discutirá las tendencias de la migración y de otros procesos sociales o económicos relevantes para la descripción de la situación de lo rural. Asimismo, el texto discutirá la importancia de lo rural en el logro de los ODS identificando la situación actual y la magnitud de cambio necesario para cumplir con los ODS. -
Policy briefPolicy briefReducir la pérdida de alimentos y valorizar frutas y residuos para impulsar la sostenibilidad y rentabilidad de la industria de la piña 2024La piña, como otras frutas tropicales, es susceptibles a la pérdida y a ser desperdiciada debido a su contenido de humedad y a su naturaleza perecedera. Factores como el cambio climático, la infraestructura inadecuada y los problemas de manipulación en las etapas de cosecha, empaquetamiento y transporte aumentan el riesgo de pérdida de alimentos, lo que afecta el suministro fruta y su calidad. Adoptar estrategias para reducir las pérdidas y maximizar el uso de los frutos dañados y residuos no comercializables es beneficioso para las empresas y los objetivos de sostenibilidad global, incluida la seguridad alimentaria y la acción climática. Al reducir las pérdidas, los productores y las empresas también pueden aumentar su competitividad y resiliencia y mejorar su reputación ante los mercados y con los consumidores. Este informe técnico presenta ideas prácticas sobre cómo los actores que operan en las cadenas de valor de la piña pueden minimizar la pérdida de alimentos y valorizar los residuos.La serie Frutas Tropicales Sostenibles destaca importantes avances, información técnica y buenas prácticas relacionadas con la resiliencia, sostenibilidad e inclusión en las cadenas de valor de frutas tropicales. Para más información o para sugerir nuevos temas, póngase en contacto con Responsible-Fruits@fao.org.
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