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Book (series)CGPM - Rapport de la vingt-neuvième session de la Commissión générale des pêches pour la Méditerranée. Rome, Italie, 21-25 février 2005. 2005
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La vingt-neuvième session de la Commission générale des pêches pour la Méditerranée (CGPM) a réuni les délégués de tous les membres de la Commission (vingt-quatre). La Commission a décidé que le Palais Blumenstihl à Rome, Italie, abriterait son nouveau siège. Elle a convenu, que tous les membres pourraient, exceptionnellement, participer au vote concernant le Secrétaire exécutif, à la condition que chacun contribue sa part du budget autonome avant la fin de l’année 2005. A la suite d’i nterviews et de votes à bulletin secret, la Commission a sélectionné son Secrétaire exécutif. Elle a aussi convenu d’un mandat et d’une procédure pour la sélection du Secrétaire exécutif adjoint. La Commission a formellement établi la Réunion de coordination des sous-comités (CMSC) en tant qu’organe subsidiaire du Comité scientifique consultatif (CSC), ainsi qu’un Groupe de travail permanent sur les méthodologies d’évaluation des stocks. Elle s’est déclarée favorable à un renforcement du mandat du Groupe de travail mixte CGPM/CICTA sur les espèces de grands pélagiques et a également décidé du re-établissement du Réseau sur l’environnement et l’aquaculture en Méditerranée (EAM) en soutien au Comité de l’aquaculture (CAQ). La Commission a renvoyé à sa prochaine session l’examen de certaines des dispositions de son Règlement intérieur. La Commission a adopté les Recommandations contraignantes CGPM/2005/1 concernant «la gestion de certaines pêcheries exploitant des es pèces démersales et des espèces vivant en eau profonde» et CGPM/2005/2 concernant «l’établissement d’un registre des navires mesurant plus de 15 mètres autorisés à pêcher dans la zone de la CGPM», ainsi que six Recommandations de la CICTA et des Directives générales pour un schéma de contrôle de la CGPM. -
Book (series)Rapport de la vingt-cinquième session du Comité des pêches. Rome, 24–28 février 2003. 2003Le Comité des pêches a tenu sa vingt-cinquième session à Rome (Italie) du 24 au 28 février 2003. Il a approuvé une stratégie visant à améliorer l’information sur l’état et les tendances des pêches de capture et a recommandé son approbation par le Conseil de la FAO. Le Comité a réaffirmé la nécessité de lutter à l’échelle mondiale contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée, et a recommandé que cette question soit inscrite à l’ordre du jour de la trente-deuxième session de la Conférence de la FAO en vue d’appeler l’attention des Membres sur ce problème. Le Comité a reconnu l’importance cruciale du Code de conduite et des Plans d’action internationaux (PAI) pour assurer un développement durable à long terme des pêches, et a encouragé les Membres à élaborer et à mettre en œuvre des plans d’action nationaux correspondant aux PAI relatifs à la capacité de pêche, à la lutte contre la pêche illicite, à la préservation des requins et à celle des oiseaux de m er. Le Comité a défini des domaines d’activité prioritaires pour le Département des pêches de la FAO pendant l’exercice biennal 2004–2005 et les domaines de travail de ses Sous-Comités sur le commerce du poisson et l’aquaculture, respectivement.
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Book (series)Rapport de la vingt-septième session du Comité des pêches. Rome, 5-9 mars 2007. 2007La vingt-septième session du Comité des pêches s’est tenue à Rome (Italie) du 5 au 9 mars 2007. Le Comité a examiné les questions de portée internationale et le programme de travail du Département des pêches et de l’aquaculture de la FAO concernant les pêches et l’aquaculture. Outre les activités supplémentaires visant à faciliter et à assurer l’application du Code de conduite pour une pêche responsable et de ses Plans d’action internationaux (capacité, pêche illicite, non déclarée et non réglementée, requins et oiseaux de mer), le Comité des pêches s’est félicité de la présentation prochaine d’un programme de travail général pluriannuel pour la gestion des ressources génétiques dans le domaine des pêches et de l’aquaculture. Le Comité s’est déclaré préoccupé par le niveau de la capacité de pêche, qui est supérieur aujourd’hui à celui d’avant le tsunami de 2004 dans certaines zones touchées et il a reconnu qu’il fallait faire face à ce problème, avec l’aide de la FAO, le cas échéant, en élaborant et appliquant des arrangements rationnels de gestion des pêches, y compris la diminution progressive de la surcapacité et la prise en compte de considérations liées au contrôle, à l’accès et aux moyens d’existence. Le Comité a également évoqué la question de la sécurité en mer liée à l’utilisation de navires non conformes aux normes. Il a reconnu l’importance de la traçabilité pour le commerce du poisson et il s’est félicité du protocole d’accord con clu par la FAO et la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES). Il a confirmé être convaincu que la FAO assumerait pleinement son rôle de coordination en vue de trouver des solutions aux problèmes auxquels est confrontée l’aquaculture mondiale et a souligné qu’il importait de s’occuper des impacts socioéconomiques de l’aquaculture et d’autres questions, notamment l’amélioration de la planification et l’élaboration des politiques aux échelles nationale et régionale. Le Comité est convenu d’accorder une plus grande place à la pêche artisanale et il s’est félicité de l’organisation d’une conférence internationale de grande envergure consacrée spécifiquement à la pêche artisanale. Il a encouragé les Membres à adhérer au Réseau international volontaire de suivi, contrôle et surveillance ou à coopérer avec lui et à élaborer un nouvel instrument juridiquement contraignant fondé sur le Plan type conc ernant les mesures du ressort de l’État du port pour la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée et sur le Plan d’action international pour la lutte contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. Le Comité a identifié plusieurs domaines pour des activités supplémentaires concernant des questions liées à l’approche écosystémique des pêches. Le Comité a jugé que le budget octroyé au Département de l’aquaculture et des pêches était insuffisant, qu’il n ’était pas à la mesure de l’importance de ses travaux ni des attentes de la communauté internationale et il a demandé instamment que les organes directeurs de la FAO allouent davantage de ressources au Département.
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