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Journal, magazine, bulletinFPMA bulletin #7 FR, 17 septembre 2018
Rapport mensuel sur les tendances des prix alimentaires
2018Also available in:
No results found.Les prix internationaux du blé ont augmenté en août sous l’effet d’une détérioration des perspectives de récolte et d’un resserrement des disponibilités à l’exportation. Les prix du maïs ont augmenté pour la première fois en trois mois, tandis que les cours du riz ont fléchi en raison d’une demande globalement atone. En Afrique de l’Est, les prix des céréales ont encore augmenté et ont atteint des niveaux record au mois d’août au Soudan, soutenus par la suppression des subventions accordées au blé, une forte dépréciation de la monnaie nationale et la hausse des coûts de transport. Ailleurs dans la sous-région, les prix ont dans l’ensemble baissé et se sont établis à des niveaux nettement inférieurs à ceux observés un an plus tôt dans la plupart des pays. En Amérique centrale, les prix du maïs ont considérablement augmenté et ont atteint des niveaux nettement supérieurs à ceux de l’année dernière dans la plupart des pays de la sous‑région, en raison des répercussions de la sécheresse sur les perspectives de récolte de la campagne principale de 2018. -
Journal, magazine, bulletinBulletin de Suivi et analyse des prix alimentaires (FPMA) #1 FR, 10 février 2021
Rapport mensuel sur les tendances des prix alimentaires
2021Also available in:
No results found.Les cours internationaux du maïs ont fortement augmenté en janvier sous l’effet d’une contraction de l’offre mondiale à l’exportation et des achats importants réalisés par la Chine (continentale). Les prix du blé et de l’orge ont également considérablement augmenté, soutenus par la vigueur de la demande d’importations. Les prix à l’exportation du riz ont augmenté pour le deuxième mois consécutif en raison de la demande vigoureuse émanant de pays d’Asie et d’Afrique, combinée à un resserrement des disponibilités en Thaïlande et au Viet Nam, deux importants pays exportateurs. En Afrique de l’Est, les prix des céréales secondaires ont affiché des tendances globalement contrastées en janvier. Dans la plupart des pays, les prix sont restés à des niveaux similaires ou inférieurs à ceux observés un an plus tôt, à l’exception du Soudan et du Soudan du Sud où, malgré certains reculs saisonniers, les prix sont restés à des niveaux quasi-record, soutenus par l’insuffisance des disponibilités et de graves difficultés macro-économiques, y compris la dépréciation continue de leurs monnaies. En Amérique centrale, malgré les récoltes en cours de la campagne secondaires, les prix des haricots ont de nouveau augmenté en janvier et ont atteint des niveaux nettement supérieurs à ceux de l’an dernier, en particulier au Guatemala, au Honduras et au Nicaragua, en raison des pertes de cultures causées par le passage de deux ouragans consécutifs en novembre 2020. -
Book (series)FPMA Bulletin #3, 10 avril 2015
Rapport mensuel sur les tendances des prix alimentaires
2015Les cours internationaux des céréales sont restés soumis à une pression à la baisse en mars. Dans l’ensemble, les cours se sont établis à des niveaux nettement inférieurs à ceux d’il y a un an, en raison de l’abondance de l’offre à l’échelle mondiale. En mars, les fluctuations des taux de change ont continué de peser sur l’évolution des prix des céréales dans les pays importateurs et exportateurs, notamment dans les pays asiatiques de la CEI et en Amérique du Sud. La dépréciation des monnaies na tionales a continué d’exercer une pression à la hausse sur les prix des céréales – qui ont atteint des niveaux record dans plusieurs pays – ou a limité le recul des prix, tandis que dans les pays où les monnaies se sont appréciées, les prix ont baissé. En Afrique du Sud, principal exportateur régional, les prix du maïs ont continué d’augmenter en mars, bien qu’à un rythme plus lent, en raison de perspectives particulièrement défavorables concernant la récolte 2015 de maïs . En Amérique centrale, les prix du maïs blanc et des haricots rouges, denrées alimentaires de base, sont restés bien plus élevés qu’il y a un an, en raison de mauvaises récoltes consécutives. Dans les pays touchés par la maladie à virus Ebola (MVE), le Libéria, la Sierra Leone et la Guinée, les prix du riz, produit localement et importé, sont restés globalement stables, sous l’effet d’une augmentation de l’offre due à l’arrivée sur le marché des récoltes de 2014, tandis que la demande est restée modérée en raison de l’impact du virus Ebola sur les activités économiques et les revenus.
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