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Appui à la mise en place des instruments de mise en œuvre du Programme national d’investissement agricole et de sécurité alimentaire et nutritionnelle (PNIASAN) - TCP/TOG/3703











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    Project
    Factsheet
    Appui à la CEEAC pour la reformulation de la Politique agricole commune (PAC) et le Programme régional d’investissement agricole, de sécurité alimentaire et nutritionnelle (PRIASAN) de 2nde génération - TCP/SFC/3804​ 2025
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    L’Afrique centrale se distingue par une grande diversité agroécologique et par d’abondantes ressources naturelles, dont une exploitation judicieuse pourrait transformer son agriculture. C’est une région contrastée, englobant des zones écologiques sahariennes au nord du Tchad, des zones sahéliennes dans l’extrême-nord du Cameroun et une partie du Tchad, des zones forestières couvrant plus de la moitié de la région, ainsi que des zones montagneuses et une vaste frange côtière s’étendant du littoral camerounais aux rivages de l’Angola. Avec une superficie totale d’environ 6 667 047 km² et une population estimée à environ 173 millions d’habitants en 2019, la région de l’Afrique centrale compte 346,2 millions d’hectares de forêts, 135,5 millions d’hectares de pâturages et 26,9 millions d’hectares de terres arables. Cependant, sur 14,2 millions d’hectares irrigables, seuls 601 000 hectares (soit 4,2 pour cent de la superficie cultivée) sont irrigués. La région dispose également d’une importante réserve de ressources en eaux souterraines renouvelables, représentant près de 1 715 km³, soit 44 pour cent des ressources internes du continent africain.
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    Project
    Factsheet
    Appui à la mise en œuvre de la stratégie de sécurité alimentaire et nutritionnelle 2015-2025 de la SADC - TCP/SFS/3703 2022
    Also available in:

    La Communauté de développement de l’Afrique australe ( est composée de 16 États membres La région est confrontée au triple fardeau de la malnutrition sous nutrition, carences en micronutriments et suralimentation Les principales causes de la malnutrition sont une alimentation inadéquate et des maladies telles que le VIH et les maladies non transmissibles Les estimations conjointes de la malnutrition de 2021 indiquent que tous les pays de la région présentent des niveaux élevés ou très élevés de retard de croissance L’émaciation et le surpoids constituent également des problèmes de santé publique, six pays présentant une prévalence de l’émaciation supérieure à 5 pour cent et trois pays une prévalence de surpoids supérieure à 10 pour cent L’insécurité alimentaire est diffuse selon le rapport de synthèse 2021 de la SADC, élaboré à partir des données soumises par dix pays de la région, environ 47 6 millions de personnes sont en situation d’insécurité alimentaire En conséquence, la plupart des régimes alimentaires sont basés sur les céréales et cette diversité limitée explique les niveaux élevés de carences en micronutriments relevés Selon le Rapport mondial sur la nutrition, tous les pays affichent une prévalence de ces carences supérieure à 20 pour cent et cet état de fait ne semble pas devoir s’améliorer prochainement dans nombre d’entre eux La malnutrition limite le développement physique et cognitif individuel, avec des répercussions négatives sur le développement social et économique des pays Les gouvernements ont la responsabilité de créer un environnement favorable qui encourage les consommateurs à faire des choix alimentaires sains et à accéder à des régimes de bonne qualité, réduisant ainsi les coûts des soins de santé et améliorant la productivité et le développement économique Consciente de l’importance d’une approche intégrée, la SADC a élaboré sa Stratégie de sécurité alimentaire et nutritionnelle 2015 2025 pour aider ses États membres à lutter contre l’insécurité alimentaire et la malnutrition La Stratégie a été approuvée et adoptée par le Conseil des ministres de la SADC en août 2014 Le présent projet a été mis en oeuvre dans ce cadre, pour remédier aux lacunes identifiées par les États membres
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    Booklet
    High-profile
    FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 2022
    The FAO Strategy on Climate Change 2022–2031 was endorsed by FAO Council in June 2022. This new strategy replaces the previous strategy from 2017 to better FAO's climate action with the Strategic Framework 2022-2031, and other FAO strategies that have been developed since then. The Strategy was elaborated following an inclusive process of consultation with FAO Members, FAO staff from headquarters and decentralized offices, as well as external partners. It articulates FAO's vision for agrifood systems by 2050, around three main pillars of action: at global and regional level, at country level, and at local level. The Strategy also encourages key guiding principles for action, such as science and innovation, inclusiveness, partnerships, and access to finance.
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    Booklet
    Corporate general interest
    Emissions due to agriculture
    Global, regional and country trends 2000–2018
    2021
    Also available in:
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    The FAOSTAT emissions database is composed of several data domains covering the categories of the IPCC Agriculture, Forestry and Other Land Use (AFOLU) sector of the national GHG inventory. Energy use in agriculture is additionally included as relevant to emissions from agriculture as an economic production sector under the ISIC A statistical classification, though recognizing that, in terms of IPCC, they are instead part of the Energy sector of the national GHG inventory. FAO emissions estimates are available over the period 1961–2018 for agriculture production processes from crop and livestock activities. Land use emissions and removals are generally available only for the period 1990–2019. This analytical brief focuses on overall trends over the period 2000–2018.
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    Book (stand-alone)
    Technical book
    Russian Federation: Meat sector review
    Country highlights prepared under the FAO/EBRD Cooperation
    2014
    Also available in:

    World food demand has seen massive changes, including a shift from staple foods to animal proteins and vegetable oils. In the short to medium term, this trend in global food demand will continue. There will be an increased demand for vegetable oils, meat, sugar, dairy products and livestock feed made from coarse grains and oilseed meals. There are numerous mid-term forecasts for the Russian Federation’s meat sector. Most of them agree on the following trends: (i) the consumption of poultry and p ork meat will increase; (ii) the consumption of beef will decrease or stabilize; and (iii) the Russian Federation will remain a net importer of meat on the world market. According to OECD and FAO projections, meat imports from the Russian Federation will decrease from 3 to 1.3 million tonnes, owing to an anticipated growth in domestic chicken meat and pork production. The country’s share in global meat imports is anticipated to decrease from 12 percent in 2006–2010, to 4 percent in 2021. While t he Russian Federation will continue to play an important role in the international meat market, it will fall from its position as the largest meat importing country in 2006–2010 to the fourth largest global meat importer by 2021, behind Japan, sub-Saharan African countries, and Saudi Arabia.