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Amélioration de la résilience des moyens d’existence face aux menaces et aux crises - TCP/GBS/3602









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    Validation et dissémination de systèmes integrés d’aquaculture - agriculture (rizipisciculture et autres) à travers l’approche champs-écoles des producteurs - TCP/GBS/3604 2020
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    La Guinée-Bissau est l’un des pays les plus pauvres du monde. Réduit à une agriculture de subsistance malgré d’importantes ressources naturelles, il n’arrive pas à couvrir les besoins de sa population et se retrouve ainsi dépendant des importations. Des systèmes d’élevage de poisson intégrés à l‘agriculture, notamment à la riziculture, pourraient jouer un rôle important en vue d’atteindre une situation de sécurité alimentaire et de réduire l’exode ruralet la pauvreté. Le projet avait pour objectifs d’accroître et de diversifier durablement la production halieutique et de contribuer à l’amélioration des revenus des communautés des agriculteurs et des pisciculteurs. Pour ce faire, six champs-écoles des producteurs (CEP) devaient être mis en place pour tester différents systèmes intégrés de rizipisciculture et renforcer les capacités des parties prenantes en ce domaine.
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    Document
    Plan d’action pour la gestion des risques de catastrophes en Guinée-Bissau 2011 - 2013 2011
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    La Guinée-Bissau, un des pays les plus pauvres au monde, se classe au 164ème rang mondial sur 169 selon l’indice de développement humain calculé en 2010 par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Plus de 65 pour cent de la population vit sous le seuil des 2 USD par jour. La pauvreté, prépondérante en zone rurale, est la principale cause de l’insécurité alimentaire. La production nette nationale ne suffit pas à couvrir les besoins alimentaires de la population dont les moyen s de subsistance sont en crise. Les faibles rendements des cultures vivrières, les risques phytosanitaires, la rareté des petits élevages familiaux, l’inexistence de la production piscicole, la faible demande des marchés ruraux pour les produits de la pêche artisanale et côtière ainsi que la rareté des petits jardins familiaux sont les principales causes du déficit énergétique et du déséquilibre nutritionnel, sources de la vulnérabilité alimentaire en Guinée-Bissau. Depuis 2008, l’Organisation d es Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) appuie le Gouvernement de Guinée-Bissau à travers l’Unité de coordination des opérations d’urgence et de la réhabilitation (ERCU) dans son effort visant à faire face à l’effondrement du cours de la noix de cajou et à la flambée des prix des denrées alimentaires. Pour répondre à ces problèmes, le Plan d’action de la Guinée-Bissau 2011-2013, dans une optique de réduction des risques de catastrophes, propose un programme composé d’une séri e de 12 projets dont les activités contribueront à la réduction du risque d’insécurité alimentaire. Parmi ces activités, on note la réhabilitation de digues anti-sel, l’introduction de variétés de semences améliorées résistantes à la sécheresse, la promotion de banques céréalières et la promotion d’un système d’alerte précoce. La mise en œuvre de ces activités sera effectuée en étroite collaboration avec les institutions nationales telles le Ministère de l’agriculture et du développement rural ( MADR) et le futur Service national de protection civile (SNPC), les organisations non gouvernementales nationales et internationales et les autres agences des Nations Unies dont notamment le Programme alimentaire mondial (PAM) et le PNUD. Les bailleurs de fonds actuels, l’Union européenne, l’Espagne, le Brésil, la Banque mondiale, la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds international de développement agricole (FIDA) sont des partenaires essentiels dans la mise en œuvre de ces proj ets.
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    Project
    Assistance d’urgence à la protection et la restauration des moyens d’existence des populations vulnérables en phase d’urgence du département du Nord-Ouest - TCP/HAI/3808 2023
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    Les populations vulnérables d’Haïti, déjà en insécurité alimentaire aiguë, ont subi de plein fouet les retombées de la covid-19. Par ailleurs, la réduction de la production agricole causée par une sécheresse prolongée et la hausse des prix des produits de base a réduit la disponibilité et l'accessibilité des denrées alimentaires pour les ménages ruraux pauvres, avec pour conséquences une aggravation de la pauvreté, de l'analphabétisme et des problèmes de santé affectant de manière disproportionnée les plus vulnérables, en particulier les femmes dans leurs activités domestiques et leurs efforts pour la survie de la famille. Pour contribuer au Plan de réponse humanitaire 2021, le Programme de réponse à la crise alimentaire de la FAO visait à renforcer la résilience de 675 000 personnes vulnérables dans le pays. Le projet contribuait à ce Programme de réponse à travers l’amélioration de la disponibilité alimentaire et la relance des moyens d’existence de 3 500 ménages vulnérables des communes de Chansolme, Bassin Bleu et Port de Paix dans le département du Nord-Ouest.

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