Related items
Showing items related by metadata.
-
DocumentRéduire les pertes après capture pour une meilleure sécurité alimentaire 2014
Also available in:
Les pertes après capture (PAC) se définissent comme une réduction du poisson en termes de quantité, ou de qualité, ou de valeur monétaire dans la chaîne d’approvisionnement. Les PAC se produisent dans toutes les pêcheries ou chaînes de valeur, à des degrés divers. Les pertes entraînent généralement une perte de revenus et une perte en poissons disponibles pour l’alimentation. Elles sont donc un problème majeur de la sécurité alimentaire en Afrique, où de nombreuses personnes sont en situation d’ insécurité alimentaire. -
DocumentDu poisson pour la vie: nutrition et développement en Afrique de l’Est et dans l’océan Indien occidental 2014
Also available in:
Durant les décennies écoulées, des progrès significatifs ont été accomplis à l’échelle mondiale dans la réduction de la faim et de la pauvreté, ainsi que dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et de la nutrition. De nombreux pays africains ont profité de ce développement positif, mais certains sont encore touchés. L’amélioration des méthodes de production et l’utilisation de nouvelles avancées technologiques ont contribué à une utilisation plus efficace des ressources et une meilleure sé curité alimentaire. Pourtant le monde, et certains pays africains en particulier, se trouve toujours face à de grands défis ; malgré les évolutions positives, des inquiétudes persistent. Quelque 795 millions de personnes sont encore considérées comme sous-alimentées, malgré une baisse de 167 millions durant la décennie écoulée, et de 216 millions par rapport à 1990–1992. Ces dernières années, les progrès ont été freinés par une croissance économique plus lente et moins inclusive, ainsi que par u ne instabilité politique dans certaines régions en développement, telles que l’Afrique centrale et l’Asie occidentale. -
DocumentOpérations conjointes pour lutter contre la pêche INN au lac Victoria 2014
Also available in:
Le lac Victoria, premier lac d’Afrique par sa taille, constitue sans doute à lui seul la source de poissons d’eau douce la plus importante du continent africain. Il contribue ainsi de façon significative aux économies nationales et régionales et aux moyens de subsistance de la population, estimée à trois millions, des trois pays bordant ses rives, à savoir le Kenya, la Tanzanie et l’Ouganda. La perche du Nil a été introduite dans le lac dans les années 1950 et sa biomasse s’est développée au poi nt de décimer la communauté de poissons endémiques du lac et d’en devenir l’espèce la plus importante ainsi que l’objet d’une pêche commerciale lucrative. Si l’Organisation des pêches du lac Victoria (OPLV) a été créée en 1994 pour assurer la gestion conjointe des ressources halieutiques du lac pour le compte des trois Etats partenaires, la pêche Illicite, non déclarée et non réglementée (INN) n’a jamais cessé d’affecter la perche du Nil. Si sa biomasse avait atteint le pic d’environ 2,3 million s de tonnes en 1999 et constituait 92% de la biomasse totale de poissons du lac, en 2008, elle ne s’élevait plus qu’à 300 000 tonnes. Pire, la longueur moyenne de la perche du Nil a chuté de 51,7 cm à 26,6 cm (longueur enregistrée en 2008), ce qui se situe bien en-dessous de la taille moyenne de 50 cm requise pour l’exportation.
Users also downloaded
Showing related downloaded files
No results found.