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Sécurité alimentaire et implications humanitaires en Afrique de l’ouest et au Sahel. Novembre 2012










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    Sécurité alimentaire et implications humanitaires en Afrique de l’ouest et au Sahel. N° 60 - Octobre/Novembre 2014 2014
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    Au Sahel et en Afrique de l’Ouest, la campagne agricole 2014-2015 a été caractérisée par une installation tardive et des déficits prononcés dans la partie Ouest du Sahel (Cap-Vert, Gambie, Guinée Bissau, Mauritanie et Sénégal) et par endroits au Mali, au Niger et au Tchad. La production céréalière (non comprise celle du Mali et du Niger) connaitrait une hausse de 4 pour cent par rapport à celle de l’année dernière et de 8 pour cent par rapport à la moyenne des cinq dernières années. Cependant, i l existerait des disparités entre les pays et notamment dans le Sahel ouest où d'importantes baisses de production, de plus de 32 pour cent par rapport à la moyenne quinquennale, sont attendues. La situation d’embonpoint du bétail est globalement satisfaisante suite à la régénérescence du couvert végétal à l’exception des zones où les pluies ont été déficitaires à l’ouest de la Mauritanie, au nord du Sénégal et, par endroits, autour du Lac Tchad.
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    Journal, magazine, bulletin
    Bulletin
    Sécurité alimentaire et implications humanitaires en Afrique de l’ouest et au Sahel. N°51 - Novembre/décembre 2013 2013
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    L’augmentation des récoltes de 1 % au Sahel et de 16 % dans toute la région par rapport à la moyenne quinquennale provoque une baisse saisonnière des prix sur une majorité des marchés. Toutefois, les prix restent supérieurs à la moyenne quinquennale dans les bassins commerciaux Est et Ouest de la région, ce qui affecte le pouvoir d’achat des ménages les plus vulnérables, particu-lièrement au Tchad, au Niger et au Ghana. La vulnérabilité chronique des populations, l’érosion des moyens d’existence suite aux crises ré-currentes (2008, 2010, 2012) les mauvaises productions agro-pastorales localisées, les inonda-tions, etc… expliquent que 13 millions de personnes sont en insécurité alimentaire fin 2013 mal-gré des récoltes pourtant moyennes. De plus, 4,5 millions d’enfants souffrent de malnutrition aigüe en Afrique de l’Ouest et Sahel. Les partenaires régionaux soulignent l’urgence de la reconstitution des stocks nationaux et la mise en place de réponses adaptées aux besoins des populations notamment les réfugiés et les mé-nages en insécurité alimentaire. La baisse de la production agricole dans certaines zones du Sa-hel entraîne des risques d’insécurité alimentaire et nutritionnelle qui devront être suivis de façon rapprochée.
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    Journal, magazine, bulletin
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    Sécurité alimentaire et implications humanitaires en Afrique de l’ouest et au Sahel. Mai 2012 2012
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    La campagne agricole 2011-2012 s’est achevée avec les dernières récoltes des cultures de contre saison. Au Niger, les récoltes de riz irrigué ont commencé et devraient améliorer la disponibilité alimentaire dans les régions bénéficiaires. A Agadez, les récoltes de blé et de maïs ont également commencé ce qui, dans une certaine mesure, améliorera les disponibilités alimentaires. Au Mali, la commercialisation du coton est en cours et devrait apporter des revenus aux producteurs concernés (Afrique Verte). Les producteurs préparent l’hivernage de la saison agricole 2012-2013 qui commence. Dans les zones à risque ou en insécurité alimentaire les ménages les plus vulnérables auront besoin d’assistance alimentaire et de renforcement de leurs moyens d’existence, en particulier en augmentant leur accès à des intrants de qualité.

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    Book (series)
    Technical study
    The impact of climate variability and extremes on agriculture and food security - An analysis of the evidence and case studies
    Background paper for The State of Food Security and Nutrition in the World 2018
    2020
    Also available in:
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    Global climate studies show that not only temperatures are increasing and precipitation levels are becoming more varied, all projections indicate these trends will continue. It is therefore imperative that we understand changes in climate over agricultural areas and their impacts on agriculture production and food security. This study presents new analysis on the impact of changing climate on agriculture and food security, by examining the evidence on recent climate variability and extremes over agricultural areas and the impact of these on agriculture and food security. It shows that more countries are exposed to increasing climate variability and extremes and the frequency (the number of years exposed in a five-year period) and intensity (the number of types of climate extremes in a five-year period) of exposure over agricultural areas have increased. The findings of this study are compelling and bring urgency to the fact that climate variability and extremes are proliferating and intensifying and are contributing to a rise in global hunger. The world’s 2.5 billion small-scale farmers, herders, fishers, and forest-dependent people, who derive their food and income from renewable natural resources, are most at risk and affected. Actions to strengthen the resilience of livelihoods and food systems to climate variability and extremes urgently need to be scaled up and accelerated.
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    Book (series)
    Technical report
    Pesticides residues in food 2010 - Joint FAO/WHO Meeting on Pesticides Residues REPORT 2010
    Report of the Joint Meeting of the FAO Panel of Experts on Pesticide Residues in Food and the Environment and the WHO Core Assessment Group on Pesticide Residues Rome, Italy, 21–30 September 2010
    2011
    Also available in:
    No results found.

    The annual Joint Meeting of the FAO Panel of Experts on Pesticide Residues in Food and the Environment and the WHO Core Assessment Group on Pesticide Residues was held in Rome, Italy, from 21 to 30 September 2010. The FAO Panel of Experts had met in Preparatory Sessions from 16 to 20 September. The Meeting was held in pursuance of recommendations made by previous meetings and accepted by the governing bodies of FAO and WHO that studies should be undertaken jointly by experts to evaluat e possible hazards to humans arising from the occurrence of pesticide residues in foods. During the meeting the FAO Panel of Experts was responsible for reviewing pesticide use patterns (use of good agricultural practices), data on the chemistry and composition of the pesticides and methods of analysis for pesticide residues and for estimating the maximum residue levels that might occur as a result of the use of the pesticides according to good agricultural practices. The WHO Core Asse ssment Group was responsible for reviewing toxicological and related data and for estimating, where possible and appropriate, acceptable daily intakes (ADIs) and acute reference doses (ARfDs) of the pesticides for humans. This report contains information on ADIs, ARfDs, maximum residue levels, and general principles for the evaluation of pesticides. The recommendations of the Joint Meeting, including further research and information, are proposed for use by Member governments of the respective agencies and other interested parties.
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    Book (series)
    Guideline
    Développement de l’aquaculture. 4. Une approche écosystémique de l’aquaculture. 2011
    Les dimensions sociales et biophysiques des écosystèmes sont inextricablement liées de telle manière qu’un changement dans une seule dimension est très susceptible de générer un changement dans une autre. Bien que le changement est une conséquence naturelle des interactions complexes, il doit être surveillé et même géré si le taux et la direction du changement risquent de compromettre la résilience du système. “Une approche écosystémique de l’aquaculture (AEA) est une stratégie pou r l’intégration de l’activité dans l’écosystème élargi de telle sorte qu’elle favorise le développement durable, l’équité et la résilience de l’interconnexion des systèmes socio-écologiques.” Etant une stratégie, l’approche écosystémique de l’aquaculture (AEA) n’est pas ce qu’on a fait, mais plutôt comment on l’a fait. La participation des parties intéressées est à la base de la stratégie. L’AEA exige un cadre politique approprié dans lequel la stratégie se développe en plusieurs é tapes: (i) la portée et la définition des limites des écosystèmes et l’identification de la partie intéressée; (ii) l’identification des problèmes principaux; (iii) la hiérarchisation des problèmes; (iv) la définition des objectifs opérationnels; (v) l’élaboration d’un plan de mise en oeuvre; (vi) le processus de mise en oeuvre correspondant qui comprend le renforcement, le suivi et l’évaluation, et (vii) un critique des politiques à long terme. Toutes ces étapes sont informées par les meilleures connaissances disponibles. La mise en oeuvre de l’AEA exigera le renforcement des institutions et des systèmes de gestion associés de sorte qu’une approche intégrée du développement de l’aquaculture peut être mise en oeuvre et compte entièrement des besoins et des impacts d’autres secteurs. La clé sera de développer des institutions capables d’intégration, notamment en fonction des objectifs et des normes convenus. L’adoption généralisée d’une AEA exigera un couplag e plus étroit de la science, la politique et la gestion. Elle exige aussi que les gouvernements incluent l’AEA dans leurs politiques de développement de l’aquaculture, stratégies et plans de développement.