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Gestion des pesticides dans le secteur de la banane










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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Production de bananes biologiques au Pérou 2017
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    Presque toutes les bananes exportées par le Pérou sont biologiques, représentant ainsi près de 3% de la production de bananes biologiques au niveau mondial. En 2014, la production bananière péruvienne occupait environ 5 500 hectares, soit près de 4% de la superficie mondiale consacrée à la production de bananes. Elle se concentre dans les régions septentrionales de Piura, Tumbes et Lambayeque ou les bananes sont principalement cultivées par de petits exploitants dans des fermes de moins de 3 hec tares. Depuis que le pays a démarré sa conversion de l’agriculture conventionnelle à l’agriculture biologique à la fin des années 1990, plus de 80% de la production de bananes s'est concentrée dans la vallée du Chira à Piura.
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    Brochure, flyer, fact-sheet
    Empreinte carbone de la filière de la banane 2017
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    Le terme "empreinte carbone" est utilisé pour décrire la quantité de gaz à effet de serre (GES) générée par un produit ou une activité. Celle-ci est exprimée en équivalent dioxyde de carbone (quantité de dioxyde de carbone ayant le même impact sur le changement climatique) et a été largement utilisée au cours de la dernière décennie dans le cadre de l'évaluation environnementale. Le calcul de l'empreinte carbone d'un produit est la somme de tous les matériaux, l’énergie et les déchets produits au cours de toutes les activités de son cycle de vie, multipliée par les facteurs d'émission et potentiels de réchauffement planétaire (PRP). L'empreinte carbone de l'industrie bananière est répartie sur l'ensemble de la chaîne de valeur, qui peut être divisée en trois grandes étapes: la production et l'emballage, le transport et l'expédition; et la maturation (pour les bananes exportées). Cependant, seulement 15 à 20% de la production mondiale de bananes est commercialisée à l'échelle mondiale (les plus grands producteurs de bananes comme l'Inde ou le Brésil exportent très peu et consomment la plupart de leur production sur le marché intérieur). La norme ISO 14064 sur la comptabilité et la vérification des gaz à effet de serre est un instrument fondamental pour l'estimation de l'empreinte carbone dans les entreprises productrices de bananes. Les normes ISO 14040 et 14044 sur l'analyse du cycle de vie (ACV) et PAS 2050 sur la vérification de l'empreinte carbone (publiée par la British Standards Institution) fournissent un cadre reconnu pour le calcul de l'empreinte carbone et l'analyse du cycle de vie.
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    Booklet
    Prévention et Gestion de la Maladie du Bunchy Top du Bananier en Afrique Centrale 2018
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    En 2015, la FAO a mis en place le projet TCP/SFC/3503 « Appui à la prévention et la gestion de la maladie de Bunchy Top du Bananier (BBTD) au Cameroun, au Gabon et en Guinée Équatoriale. » Pendant 2 ans, le projet a apporté un soutien important au renforcement des capacités des différents acteurs institutionnels et scientifiques des trois pays concernés. Il a permis la conduite de nombreuses enquêtes sur le terrain, en particulier dans les zones frontalières, où la présence du virus a pu être cartographiée. Grâce aux analyses menées sur les échantillons collectés lors des enquêtes dans les laboratoires de l’IITA au Cameroun, il a été établi que le virus du BBTD est présent dans 8 provinces sur 9 au Gabon et dans le sud du Cameroun. Il n’a pas été identifié en Guinée Équatoriale. Il représente une des plus graves menaces pour l’ensemble des cultures de bananes et plantains. En effet il est hautement contagieux sur courtes et longues distances, et très difficile à éradiquer. Ses effets sont ravageurs : les bananiers deviennent stériles ou produisent des fruits non comestibles. Or la culture de la banane fruit et du plantain est fondamentale en Afrique centrale tant au niveau économique qu’alimentaire. Dans le cadre du projet, des plans d’Action Rapide d’Eradication (ARE) ont été mis en place. Ils ont permis de réhabiliter les champs identifiés comme infectés, notamment à travers la destruction systématique des plants malades et la réintroduction de matériel végétal sain. Cependant, une sensibilisation continue des populations à la maladie et aux moyens d’y remédier, ainsi que la collaboration des services de douane et de quarantaine, sont fondamentales pour endiguer l’infection et permettre son éradication. La création de supports de communication et le partage d’informations entre parties prenantes permettront de lutter efficacement contre les progrès de cette maladie endémique, et de prévenir une catastrophe phytosanitaire et économique.

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