2 Écrire pour la FAO
2.1 Conseils et astuces d’écriture
Lisez votre texte à haute voix. Si vous manquez d’air ou si vous butez sur une phrase, elle est probablement trop longue ou trop complexe. Les phrases trop longues risquent d’égarer le lecteur. L’utilisation de logiciels de traitement de texte permettant de vérifier la lisibilité d’un document au stade de la rédaction peut s’avérer utile. Dans MS Word, vous pouvez activer des outils tels que Flesch Reading Ease et Flesch-Kincaid pour analyser la clarté du texte.
Gardez à l’esprit que l’introduction, la conclusion et le résumé sont les parties d’un ouvrage qui suscitent le plus d’intérêt. Les lecteurs ayant peu de temps peuvent même décider de lire seulement le résumé. Ces parties doivent donc être particulièrement soignées et concises.
Utilisez un langage simple et un style clair, en évitant les formulations ambiguës:
- Privilégier les formulations courtes, simples et directes. Par exemple, <correct-text>car<correct-text> ou <correct-text>comme<correct-text> au lieu de <incorrect-text>en raison du fait que<incorrect-text>, <correct-text>nécessite <correct-text>au lieu de <incorrect-text>présente la nécessité de<incorrect-text>, <correct-text>malgré <correct-text>ou <correct-text>quoique<correct-text> au lieu de <incorrect-text>en dépit du fait que<incorrect-text>. Éviter les expressions telles que: <incorrect-text>le fait est que<incorrect-text>, <incorrect-text>à ce sujet<incorrect-text>, <incorrect-text>on pourrait ajouter que<incorrect-text>, <incorrect-text>il va sans dire que<incorrect-text>, <incorrect-text>il est important d’ajouter que<incorrect-text>, etc.
- Faire attention aux nouveaux mots (par exemple <incorrect-text>covidé<incorrect-text>, <incorrect-text>mégenrer<incorrect-text>, <incorrect-text>antisexisme<incorrect-text>, <incorrect-text>écoanxiété<incorrect-text>, <incorrect-text>flexoffice<incorrect-text>, <incorrect-text>complosphère<incorrect-text>, <incorrect-text>greenwashing<incorrect-text>, <incorrect-text>ghoster<incorrect-text>, <incorrect-text>spoiler<incorrect-text>, etc.), car, si certains ont fait leur entrée dans le dictionnaire, ils ne sont pas encore bien connus du grand public et il s’agit parfois d’anglicismes.
- Éviter toute forme de jargon, les expressions familières et les jeux de mots. Toutefois, si c’est absolument nécessaire, un terme technique bien expliqué peut remplacer une longue périphrase, surtout si ce terme est répété dans le texte. Si vous utilisez des termes techniques, définissez-les simplement.
- Éviter les adverbes faibles et les marqueurs d’intensité vagues: <incorrect-text>heureusement<incorrect-text>, <incorrect-text>vraiment<incorrect-text>, <incorrect-text>très<incorrect-text>, <incorrect-text>tellement<incorrect-text>, <incorrect-text>tout à fait<incorrect-text>, <incorrect-text>en fait<incorrect-text>, <incorrect-text>assez<incorrect-text>, etc.
- Préférer la voix active à la voix passive, car elle est plus dynamique et efficace. Par exemple, écrire <correct-text>L’entreprise a conçu le produit pour attirer les jeunes<correct-text> plutôt que <incorrect-text>Le produit a été conçu pour attirer les jeunes<incorrect-text>.
- Éviter les doubles négations: préférer <correct-text>ll est courant de…<correct-text> à <incorrect-text>Il n’est pas rare de…<incorrect-text>
- Utiliser la terminologie de manière précise et cohérente. En effet, dans les cas où un livre a été rédigé par de multiples auteurs, le correcteur d’épreuve doit s’assurer que les différents auteurs emploient les mêmes termes pour les mêmes concepts dans les différents chapitres.
- Remplacer les verbes vagues (par exemple: faire, être, effectuer une analyse, étudier de façon approfondie) par des verbes d’action plus précis (<correct-text>réaliser<correct-text>, <correct-text>créer<correct-text>, <correct-text>constituer<correct-text>, <correct-text>analyser<correct-text>, <correct-text>examiner<correct-text>).
- Pour exprimer la notion de quantités, éviter les expressions telles que <incorrect-text>quelques, plusieurs, beaucoup<incorrect-text> ou <incorrect-text>un certain nombre<incorrect-text>, car elles ne fournissent pas d’informations précises.
2.2 Erreurs fréquentes
Les énumérations introduites par <correct-text>comme<correct-text>,<correct-text> par exemple <correct-text>ou<correct-text> y compris <correct-text>ne doivent pas être suivies de <incorrect-text>etc.<incorrect-text> Ces termes impliquent que les exemples énoncés ne constituent pas une liste exhaustive.
2.3 Langage non discriminant
En tant qu’agence de l’ONU, toutes les communications et publications de la FAO doivent respecter le principe de neutralité et ne contenir aucun langage discriminant ou à connotation négative concernant l’âge, le genre, l’origine ethnique, le statut juridique, le handicap, la religion, l’orientation sexuelle ou d’autres motifs.
2.3.1 Peuples autochtones
Le terme <correct-text>peuples autochtone<correct-text> (toujours en minuscules) a été convenu au niveau international et au sein de l’ONU pour représenter la richesse des savoirs traditionnels et la diversité des peuples autochtones à travers le monde, ainsi que leur statut de détenteurs de droits fondamentaux. Il est important d’éviter d’employer des termes génériques tels que <incorrect-text>agriculteurs<incorrect-text>, <incorrect-text>groupes ethniques<incorrect-text>, <incorrect-text>communautés locales<incorrect-text> ou <incorrect-text>communautés marginalisées<incorrect-text> pour se référer aux peuples autochtones, car ils sont inexacts. Dans certains contextes spécifiques, des termes tels que <correct-text>tribus<correct-text> ou <correct-text>minorités ethniques<correct-text> peuvent être appropriés. Certains pays préfèrent des appellations telles que <correct-text>peuples premiers<correct-text> ou <correct-text>peuples aborigènes<correct-text>. Il est essentiel de respecter les préférences terminologiques des différents pays et de combattre toute forme de discrimination. Les termes <correct-text>femmes autochtones<correct-text> et <correct-text>jeunes autochtones<correct-text> sont couramment utilisés. Pour une terminologie complète, consulter le Portail terminologique de la FAO et AGROVOC.
2.3.2 Langage neutre et inclusif
La FAO œuvre à promouvoir l’égalité des sexes dans son travail. Cela passe notamment par l’utilisation d’un langage inclusif, à l’écrit comme à l’oral, non discriminant, quel que soit le sexe ou l’identité de genre de la personne dont on parle ou à qui l’on s’adresse. Comme la langue a le pouvoir de faire évoluer les attitudes culturelles et sociales, l’emploi d’un langage inclusif est un moyen de lutter contre les stéréotypes, les préjugés et la discrimination.
Le langage neutre est un langage qui ne fait pas référence au genre lorsqu’il décrit des personnes. Ainsi, nous préconisons d’éviter les marques grammaticales liées au genre dans le texte. Par exemple, les articles et pronoms personnels ont deux genres grammaticaux distincts: le masculin et le féminin, en fonction du référent (<incorrect-text>le<incorrect-text>, <incorrect-text>la<incorrect-text> et <incorrect-text>son<incorrect-text>, <incorrect-text>sa<incorrect-text>). Gommer, dans la mesure du possible, ces marqueurs de genre. Privilégier les termes qui ne marquent pas le genre et qui peuvent faire référence aussi bien à des femmes qu’à des hommes. Les mots épicènes au pluriel sont des mots qui ne sont pas marqués du point de vue du genre grammatical: <correct-text>les personnes<correct-text>,<correct-text> les responsables<correct-text>,<correct-text> les bénéficiaires<correct-text>,<correct-text> quiconque<correct-text>. De même, privilégier les noms collectifs ou abstraits qui, au singulier, désignent un groupe de personnes: <correct-text>le personnel<correct-text>,<correct-text> la population<correct-text>,<correct-text> l’humanité<correct-text>,<correct-text> la fonction publique<correct-text>,<correct-text> la direction<correct-text>,<correct-text> l’électorat<correct-text>, <correct-text>le corps enseignant<correct-text>, etc.
La construction <correct-text>il ou elle<correct-text> peut être utilisée avec parcimonie, mais il est déconseillé d’utiliser les typographies <incorrect-text>il/elle<incorrect-text> ou <incorrect-text>il.elle<incorrect-text> car elles compliquent la lecture d’un texte. Il est préférable de les réserver aux cas où l’espace est limité, comme dans les tableaux, les formulaires, ou sur les réseaux sociaux.
Lorsque le contexte s’y prête, l’utilisation de doublets (une paire formée de la forme masculine et de la forme féminine du mot en respectant l’ordre alphabétique) permet de désigner un groupe comprenant des femmes et des hommes. Par exemple: <correct-text>les citoyennes et les citoyens<correct-text>, <correct-text>celles et ceux<correct-text>, <correct-text>les candidats et les candidates, le ou la fonctionnaire<correct-text>. On peut également être amené à employer des formulations telles que <correct-text>femmes et hommes<correct-text> ou <correct-text>filles et garçons<correct-text>. Toutefois, nous ne préconisons l’utilisation de ces doublets que dans des cas particuliers où l’on veut souligner que les femmes aussi bien que les hommes sont concernés. Par exemple: <correct-text>Les maladies cardiaques font de nombreuses victimes chez les femmes comme chez les hommes<correct-text>; <correct-text>De nombreux enfants, filles ou garçons, sont enrôlés de force dans les groupes armés<correct-text>.
La rédaction non sexiste est aussi un bon moyen de lutter contre les stéréotypes de genre. Par exemple, il est préférable d’écrire <correct-text>les personnes vivant de la pêche<correct-text> ou <correct-text>les pêcheurs et les travailleurs de ce secteur<correct-text> plutôt que de dire simplement <incorrect-text>les pêcheurs<incorrect-text>, ce qui revient à négliger les femmes, lesquelles font généralement partie des travailleurs du secteur de la pêche.
2.3.3 Âge
Les discriminations liées à l’âge sont fréquentes et constituent souvent des stéréotypes sur les personnes âgées, mais aussi les jeunes. Les termes <incorrect-text>les vieux<incorrect-text>, <incorrect-text>les vieillards<incorrect-text> sont aujourd’hui considérés comme inacceptables, tandis que <correct-text>les personnes âgées<correct-text>, <correct-text>les retraités<correct-text> et <correct-text>les seniors<correct-text> sont généralement admis. Dans la mesure du possible, se référer à un âge spécifique ou à une catégorie d’âge spécifique. Par exemple, <correct-text>les personnes de plus de 60 ans<correct-text>.
2.3.4 Diversité culturelle et ethnique
Les deux formes les plus répandues de partialité culturelle ou de biais ethnique sont l’omission – c’est-à-dire l’absence de représentation – et les stéréotypes ou la stigmatisation.
L’omission consiste à privilégier certains points de vue ou expériences au détriment d’autres, ce qui peut avoir une influence sur le lecteur. Les stéréotypes sont des représentations négatives associées à un groupe d’appartenance minoritaire (socioculturel, religieux, ethnique, etc.). Parfois, les descriptions sont positives ou neutres à premier abord, mais elles peuvent néanmoins véhiculer des stéréotypes.
Éviter d’utiliser des expressions qui reflètent une perspective ethnocentrique particulière.
2.3.5 Le handicap
Lorsqu’il est question des personnes en situation de handicap, différentes formes de discrimination peuvent émerger:
- Il est important de placer les personnes au premier plan et de ne pas les réduire à leur handicap. Par conséquent, il est recommandé d’éviter l’usage de termes stigmatisants tels que <incorrect-text>les épileptiques<incorrect-text>, <incorrect-text>les aveugles<incorrect-text>, <incorrect-text>les sourds<incorrect-text>, <incorrect-text>les handicapés<incorrect-text>. Préférer plutôt des formulations comme <correct-text>les personnes épileptiques<correct-text>, <correct-text>les personnes aveugles<correct-text>, <correct-text>les personnes sourdes<correct-text>, <correct-text>les personnes handicapées<correct-text> ou <correct-text>les personnes en situation de handicap<correct-text>.
- Éviter de tomber dans le piège de la condescendance en sous-entendant qu’un handicap rend une personne victime. Privilégier une terminologie qui met en avant la capacité d’agir et l’autonomie des individus. Les personnes <correct-text>utilisent un fauteuil roulant<correct-text> ou <correct-text>se déplacent en fauteuil roulant <correct-text>mais ne sont pas <incorrect-text>clouées dans un fauteuil roulant<incorrect-text>.
- Le langage peut véhiculer des stéréotypes qui perpétuent la discrimination à l’égard des handicaps. Certains termes péjoratifs peuvent dépeindre les personnes handicapées comme des êtres inférieurs aux autres. Il est préférable de parler de <correct-text>personne ayant un handicap psychosocial<correct-text>,<correct-text> une déficience intellectuelle<correct-text> ou <correct-text>une incapacité intellectuelle<correct-text> plutôt que d’utiliser des termes à connotation négative ou blessants comme <incorrect-text>handicapé mental<incorrect-text>, <incorrect-text>déséquilibré, anormal<incorrect-text>, <incorrect-text>attardé<incorrect-text>, <incorrect-text>simple d’esprit<incorrect-text>.
- Éviter les euphémismes tels que <incorrect-text>ayant des besoins spéciaux<incorrect-text> ou <incorrect-text>autrement capable<incorrect-text>, qui dissimulent la réalité du handicap ou tentent d’en faire abstraction. Le terme <correct-text>personnes en situation de handicap<correct-text> ou <correct-text>personnes handicapées<correct-text> est correct.
- Éviter également de médicaliser les personnes en situation de handicap en les considérant comme ayant un problème médical ou une maladie. Elles ne sont des <correct-text>patients<correct-text> que dans le cadre de soins médicaux spécifiques.
- Enfin, il est important de ne mentionner le handicap d’une personne que lorsque cela est pertinent dans le contexte, et de ne pas les stéréotyper en les présentant comme des personnes héroïques pour avoir surmonté leur handicap.
- Pour en savoir plus, consulter les Lignes directrices de l’ONU pour l’inclusion du handicap dans les communications.
2.4 Écrire un texte promotionnel ou blurb
Le texte promotionnel est un petit texte de présentation visant à attirer l’attention des lecteurs et des médias, à donner une bonne idée du contenu et de l’intérêt particulier de la publication, et à rendre le lecteur curieux d’en savoir plus. En général, ce texte apparaît sur la quatrième de couverture de la publication et dans le Portail de connaissances de la FAO (sur la page de présentation de la publication), ainsi qu’à d’autres fins commerciales.
OCCP recommande de créer un texte multifonctionnel, qui peut être adapté à différentes fins, selon le support, le public et l’espace disponible, comme suit:
- Nombre total de mots: 250-300 mots, divisés en trois paragraphes de 50–100 mots.
- La première ou les deux premières phrases (maximum 30 mots) doit/doivent dégager l’essence de la publication – utiles pour inclure dans les bulletins d’information ou les articles sur internet.
- Le premier paragraphe doit présenter les thèmes et arguments de vente principaux de la publication, et doit pouvoir être utilisé seul, par exemple dans le catalogue des publications. Privilégier des phrases courtes et faciles à lire.
- Le deuxième paragraphe donne des informations complémentaires, telles que le contexte plus large, des thèmes secondaires et plus de détails. Les deux premiers paragraphes peuvent être utilisés ensemble sur certains supports promotionnels.
- Le troisième paragraphe développe davantage le sujet: il peut, par exemple, présenter le contexte, fournir des recommandations, ou présenter des perspectives plus larges. Les trois paragraphes peuvent figurer ensemble sur la quatrième de couverture de la publication ou dans le Portail de connaissances de la FAO sur la page de présentation de la publication.
Appliquer les lignes directrices suivantes:
- Commencer et terminer par des phrases d’introduction et de conclusion efficaces.
- Intégrer des statistiques marquantes en lien avec le sujet abordé dans la publication (en veillant à ne pas divulguer de données sensibles ou sous embargo avant la date de lancement officielle).
- Souligner les éléments distinctifs de la publication, tels que son approche innovante ou des données récentes.
- S’assurer que les idées s’enchaînent de manière cohérente et que la narration est fluide et engageante.
- Rédiger dans un style clair et accessible, adapté à l’audience ciblée par la publication.
- Éviter l’usage excessif de termes techniques.
- Inclure des mots-clés pertinents afin de renforcer la visibilité en ligne de la publication.
2.5 Écrire un titre
Bien qu’il ne soit pas toujours facile de trouver un titre accrocheur, il est essentiel qu’il soit aussi clair et concis que possible. Ce titre doit capter l’attention du public cible en mettant en avant le thème central ou une idée clé. Assurez-vous également qu’il soit optimisé pour les moteurs de recherche.
Le titre doit être facile à traduire dans d’autres langues, en gardant à l’esprit que certaines langues nécessitent plus de mots pour exprimer la même idée.
Pour optimiser la visibilité de la publication, placer l’information clé au début du titre et éviter les abréviations et acronymes (seules les abréviations <correct-text>FAO<correct-text> et <correct-text>covid-19<correct-text> font exception à cette règle).
2.5.1 Écrire un titre pour une figure, un tableau ou un encadré
Les titres des figures, tableaux et encadrés doivent être clairs et concis pour le grand public. Dans la mesure du possible, indiquer la couverture géographique et la période concernée.
Ne pas mettre de point final à la fin du titre. Lorsque plusieurs tableaux ou figures sont liés, les titres doivent être cohérents, par exemple:
<correct-text>Figure 1. Répartition des ménages par quintile de revenu au Nicaragua, 1999-2019<correct-text>
<correct-text>Figure 2. Répartition des ménages dirigés par des femmes par quintile de revenu au Guatemala, 1999-2019<correct-text>
Si possible, à moins d’être limité par l’espace, utiliser le mot entier (par exemple <correct-text>pourcentage<correct-text>, <correct-text>tonnes<correct-text>) dans les titres des tableaux, figures et encadrés, plutôt que des symboles ou des abréviations. Soyez cohérent tout au long de la publication. Pour les noms de pays, consultez la liste actualisée des «noms pour les listes et les tableaux» dans NOCS.
2.5.2 Titres de séries
Le titre d’une série/collection doit être concis, précis, unique et spécifique. Ne pas préciser la fréquence de parution ni le bureau ou la division concerné(e).
Lorsque le type de matériel est inclus dans le titre, il est généralement indiqué avec une lettre majuscule à l’initiale (<correct-text>Rapports techniques, Matériels de formation<correct-text>, <correct-text>Directives<correct-text>, <correct-text>Documents de travail<correct-text>) et sans ponctuation. Par exemple: <correct-text>SMIAR Alertes spéciales<correct-text>, <correct-text>Rapports FAO sur l’eau<correct-text>, <correct-text>Collection FAO Production et santé animales<correct-text>, <correct-text>Cahiers FAO Environnement et énergie<correct-text>.
Choisir une taille de police lisible et placer le nom de la série/collection au même endroit sur la page de couverture et la page de titre intérieure (mise en page identique). Sur la page des droits d’auteur, le titre de la série/collection doit être placé dans le même ordre que sur la page de couverture et la page de titre.